La connerie et les cons vus par… Ton voisin de bureau

  • – Ce que tu peux être négatif… Sache, au lieu de te lamenter, qu’avoir de la veine n’apparaît que dans la seconde moitié du XIXème, après le mot « veinard », en 1857. – Et l’apparition du mot « connard », tu peux me faire un petit topo ?
  • Le con gentil, bien que cousin germain du con méchant, est beaucoup plus inconscient de sa connerie.
  • Le con au bureau n’a pas de territoire au sens où il n’a pas de limites.
  • Quand vient la connerie de trop qui fait déborder le vase du supportable, vous ne pouvez que songer à vous doter d’une arme automatique pour réduire ce con en particules élémentaires.
  • Travailler avec un con, bien que cela soit risqué et pénible, ne donne droit à aucun avantage compensatoire.
  • La Jesaistouite est une maladie fréquente chez le con au bureau.
  • Être plus con qu’un vrai con demande une assiduité sans faille et une volonté de fer.
  • Ne vaut-il pas mieux des cons au boulot qu’un boulot de con ? Imaginez le pire : un boulot de con avec des cons.
  • La connerie, c’est un peu comme les morts-vivants, cela bouge toujours un peu.
  • Si le con surprend par l’aplomb et l’audace de sa connerie, il faut humblement reconnaître que son niveau de connerie est toujours largement sous-estimé.
  • Le con aime à trouver des responsables à ses échecs répétés.
  • Le con au bureau, quelle que soit sa taille, est petit !
  • En matière de connerie, c’est souvent fromage et dessert.
  • Le connard est au con ce que la noblesse est à la bourgeoisie.