Un con, ça ne se définit pas. On ne peut donner que des exemples.
Quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de tourner.
Si la connerie n’est pas remboursée par les Assurances Sociales, vous finirez sur la paille.
L’été, les vieux cons sont à Deauville, les putes à Saint-Tropez et les autres sont en voiture un peu partout.
Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.
Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord… mais ça vole.
Vous savez quelle différence il y a entre un con et un voleur ? Un voleur, de temps en temps ça se repose.
C’lui-là, c’est un gabarit. Un exceptionnel. Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre-étalon ! Y serait à Sèvres.
Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche.
Moi, Monsieur, je suis ancien combattant, patron de bistrot et militant socialiste, c’est vous dire si des conneries dans ma vie j’en ai entendu quelques-unes.
Si on t’avait foutu à la lourde chaque fois que t’as fait des conneries, t’aurais passé ta vie dehors.
Y’a des aristocrates et des parvenus, dans la connerie comme dans le reste…
Ce que tu peux être con ! T’es même pas con, t’es bête. Tu vas jamais au cinoche, tu lis pas, tu sais rien. Si ça se trouve, t’as même pas de cerveau. Quand on te regarde par en dessus, on doit voir tes dents.
« Adjoint Lenay, vous n’êtes pas outrecuidant, vous êtes con comme un adjoint. Notez bien, c’est normal, si vous étiez une lumière, vous ne seriez pas adjoint, vous seriez inspecteur. »
J’parle pas aux cons, ça les instruit.
J’ai divisé la société en deux catégories : mes amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte pas.
Les conneries c’est comme les impôts, on finit toujours par les payer.
La connerie à ce point-là, moi j’dis que ça devient gênant.