C’est, hélas, une conséquence de la période inflationniste que nous connaissons. Depuis des siècles la violence gratuite l’était vraiment, mais, désormais, c’est terminé. « C’est une véritable révolution révolutionnaire », assure Oussama Fétromal, expert au CONAR (Center of New Advanced Research) de l’université de San Balek. Le spécialiste estime que cela va réduire considérablement les actes violents. « Pour la plupart des voyous, dès qu’il y a quelque chose à payer, ils renoncent, on le voit dans tous les domaines, la plupart sont des radins », ajoute l’expert du CONAR.
Du côté des pouvoirs publics, à l’origine de cette décision historique, on se réjouit : « Nous pourrons quand même collecter davantage de TVA (Torgnoles Vraiment Alignées) et de CSG (Coups Super Graves) », estime Léopoldine Kantélafin, sous-chef de bureau du responsable de la sous-sous-direction des impôts de Bercy.