Il confond Proptech et Proptech et investit dans une fabrique de serpillières au lieu d’une start-up dans l’immobilier

C’est l’inconvénient des sigles apparus avec l’engouement pour la transformation digitale, on a quelquefois du mal à s’y retrouver. Comme le montre la mésaventure arrivée à Godefroy Homiche, un investisseur stagiaire de la banque Seynou Lémaiyeur. « Quand on m’a demandé d’investir cinq millions d’euros dans le secteur des proptechs, j’ai tapé dans Google et le moteur de recherches m’a orienté vers une PME, leader dans son secteur, à savoir la fabrication de serpillières connectées et de balais-brosse », explique-t-il. « J’ai tout misé sur cette entreprise qui me semblait prometteuse », poursuit Godefroy Homiche.

Hélas, l’argent investi ne pourra être récupéré, car il a été dépensé immédiatement et en intégralité par les dirigeants de la PME, accusés depuis de blanchiment de carrelage.

Image par Elf-Moondance de Pixabay