
– Les bites et les soufflés, si on les laisse quimper, on finit par les retrouver à fond de cale.
– L’essuyer c’est la doper.
– Le coup du matin n’arrête pas le pèlerin.
– Après le caltage vient le pioncage.
– Plus le poisson mord, plus on a de chance de l’attraper.
– Quand le veau est tiré, il faut le faire boire.
– Les maîtresses sont plus jalouses des légitimes que les légitimes des maîtresses.
– Tout triangle-rectangle immergé dans un liquide à angles droits, reçoit de la part de ce liquide (du vin, par exemple) un carré de l’hypoténuse égal au poids du liquide déplacé.
– Faites du bien à un vilain et il vous fait dans la main (Félicie).
– La nuit tous les troufions sont gris (quelquefois ils sont complètement noirs d’ailleurs).
– On ne peut pas faire deux choses à la fois ; être moine et réussir une mayonnaise.
– Un Béru affamé n’a pas d’oreilles.
– Il faut battre le frère pendant qu’il est chauve.
– Le temps est plus difficile à tromper que les femmes.
– Il est quelquefois moins pénible à un soldat de se rendre au cours d’une bataille qu’à un civil de se rendre à l’évidence.
– Vain milieu saoule les mers.
– Il ne faut jamais fendre l’appeau de l’ours avant de l’avoir Hué.
– Vaut mieux être goret que truffe.
– Vaut mieux payer qui on baise que baiser qui on paie.
– Tous les moyens (orient) sont bons.
– Je boirai le calice jusqu’à l’hallali.
– Ca fait toujours plaisir à un civil de passer pour un officier, tout comme un Dugenou est ravi d’être pris pour un noble.
– Les belles-mères et les percepteurs exceptés, les choses doivent être vues de près.
– Petit appétit, lois aux fesses, on nie !
– Les plus belles lèvres cachent des dents.
– La vie n’est la vie que parce qu’elle est la vie.
– T’as plus de chance d’attraper une truite dans le trou que tu en as déjà chopé une que dans un bénitier.
– Si ça nettoie, cède donc ton frère.
– Mieux vaut tiare que Jeannenney.
– Chiez, nous ferons le reste (Devise des grands cuisiniers).
– Il vaut quelquefois mieux une association de malfaiteurs qu’une association d’idées (concierge de Jean-Jacques Rousseau).
– Qui aime le vent récolte la trompette.
– Rien de positif ne s’édifie dans l’énervement, la rogne, la hargne, le gaullisme et la constipation chronique.
– Manger est un flirt avec l’oubli.
– Il y en a qui sèment le pet pour recueillir la merde.
– Si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle (Roger Peyrefitte de l’Académie Française, par cousin interposé)
– Quand j’entends ce que j’entends et quand je vois ce que je vois, je suis content de penser ce que je pense (Formule Vaudoise).
– Ne confondons pas chaude-pisse et première communion, c’est pas le même cierge qui coule.
– Il ne faut pas jeter le Commanche après la poignée.
– Tant va le cachalot qu’à la fin il se case.
– Rien de plus affligeant que des Ricains à table, sinon des hindous en train de déféquer.
– Les putes françaises, c’est comme les restaurants italoches : y’en a dans le mont dentier (Bérurier).
– À l’impossible nul n’est détenu.
– Toute pelle mérite sa lèvre et qu’si t’avales la cruche à eau t’as la faim qui s’casse (Bérurier).
– Se remplir convenablement l’estomac est une des plus belles obligations humaines (Félicie).
– Chaque sauce en sautant.
– Autre étang autres nurses.
– Quand le bain est tiré, il faut le boire.
– Kennedy rien con, sent.
– Un malheur qu’on ignore n’est pas encore un malheur.
– On a souvent vu des vivants faire semblant d’être morts, mais on n’a jamais vu des morts faire semblants d’être vivants.
– La girouette et le tournevis peuvent tourner dans les deux sens, mais la main du vent est plus puissante que celle de l’homme (Lamahr-Tinn).
– Pour que le mec naisse, il faut que le salaud nique.
– Nos actes nous précèdent, c’est nous qui les suivons.
– L’œil du bidet n’est pas une conscience pour la femme qui s’ablutionne (proverbe Kalbahr).
– La bite ne fêle pas le moine !
– Les voies urinaires sont les moins navigables, contrairement à celles de la providence.
– Œil pour œil, dedans pour dedans (Bérurier).
– Ne vends jamais la peau du slip avant de l’avoir retiré, sinon t’auras des courbatures à l’illusion.
– Écrire, c’est l’art des choix (vieux proverbe de Privat).
– Le noir s’écrit sur le blanc, et le blanc sur le noir.
– Mieux vaut queutard que jamais.
– La mémoire est comme les fiasques de chianti : il reste toujours quelque chose dans le fond de la bouteille.
– Une pipe ça se réchauffe pas, contrairement au bœuf bourguignoche (Bérurier).
– On ne fait pas d’hommes laids sans caser des yeux.
– Il faut toujours faire passer ton intérêt par celui des autres si tu veux pouvoir compter sur eux.
– Dieu que le con du sort est triste au fond du boa (A. de Vigny).
– Tout corps plongé dans un liquide reçoit une poussée de basen haut, sauf si ce liquide est de l’acide sulfurique.
– Si tu as du sable dans l’œil, que tu ne puisses retirer,attends qu’il y prenne sa place et alors l’horizon redeviendra net pour toi (proverbe saharien).
– Il vaut mieux être l’héritier d’un homme économe que d’un homme riche.
– Par tradition, tous les marins du monde picolent, car il était de bon ton, dans la navigation d’autrefois, qu’il y ait toujours du vent dans les voiles.
– On ne va pas loin de nos jours avec un milliard de francs, surtout si l’on est convoyeur de fonds.
– Conduire ou choisir : il faut boire.
– Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu hais.
– A quoi te sert d’avoir le nez creux si tu ne prises pas ?
– Parler est, quatre vingt dix fois sur cent, une démarche inutile et donc une perte de temps.
– La glande mammaire reste l’opium de l’homme.
– Les secrétaires qui ne portent pas de culotte sont moins productives que les autres.
– Il y a con s’il y a bulles.
– Kennedy rien, qu’on sent.
– Ce que Béru veut, Satan le veut.
– Il vaut mieux donner des coups d’épée dans l’eau que de la laisser rouiller dans son fourreau.
– A l’impossible, nul n’est détenu.
– Si tu n’as plus rien … attendre de la vie, un conseil : n’attends plus.
– L’homme affamé est l’égal du rat ou du chien.
– Tant va le cachalot qu’à la fin il se glace (Bérurier)
– Ne jamais planter sans avoir convenablement aménagé le terrain (Michel le jardinier de Télé Matin).
– Celui qui n’assume pas sa fantaisie n’est bon qu’à placer des papillons sous des pare-brises ou à sculpter le buste de Raymond Barre dans du saindoux.
– Les oignons les mieux lavés fouettent toujours.
– L’oraison du plus fort est toujours la meilleure.
– Petit voyou deviendra forban si Dieu lui prête vie.
– L’essentiel, c’est d’être cru (Jeanne d’Arc au bûcher).
– A petite bouche, grande craquette (proverbe en usage à Saint-Locdu-Le-Vieux).
– Une enquête menée par Béru, tous les malfrats l’ont dans l’cul.
– L’bon Dieu a créé‚ l’ciel et la terre en six jours, le septième, il a créé l’paf (Bérurier).
– Quand t’as la babasse d’une frangine qui t’fait des baisers à vide, tu peux bien inaugurer d’la sute (Bérurier).
Regarde intensément une femme et tu finiras par voir se refléter ta bite dans ses yeux.
– Le chien boit et le car havane passe.
– Réfléchir sans y être obligé, c’est du vice (Bérurier).
– Un prince sans pognon, c’est comme un taxi londonien sans essuie-glaces, ça ne rime plus à rien.
– Dieu a créé le vin rouge pour l’ivrogne, le blanc pour les huitres et le rosé pour les femmes.
– A cheval donné, on ne regarde pas les dents.
– Quand un Béru se pointe quelque part, vous pouvez être sûr qu’un Pinuche n’est jamais très loin.
– Dans les paniques collectives, quoi qu’on vous chante, les héros ne sont pas nombreux.
– La flicaille, c’est comme l’homosexualité ; on en est ou pas.
– Les mères baisent mieux que les filles, c’est dans la nature des choses.
– Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se cache.
– Faut avoir de la bouteille pour faire un bon marchand de vin.
– La sagesse se drape parfois dans la naïveté.
– La loi, c’est l’autorité‚ du con.
– Attendre et voir venir sont les deux mamelles du policier.
– La faim est le meilleur cuisinier.
– Différer une emmerde c’est lui donner le temps de croître.
– Les objets ne valent que par le besoin qu’on a d’eux.
– On ne tue pas les gens qu’on hait, et si peu souvent ceux qu’on aime ! On ne tue que d’espoir.
– Le moment de la pipe finit toujours par arriver pour une fille ! Sinon elle tourne gourdasse frigide, ce qui n’arrange personne.
– On est complice que dans la saloperie ; dans le bien, on communie.